Vidéos : interviews de Pr Seneschal et de Dr Comte
A l’occasion de la publication de la première bande dessinée française au sujet du vitiligo « Le Vitiligo et nous… » (téléchargeable gratuitement sur notre site internet), notre Présidente Martine Carré a posé quelques questions à 2 membres de notre Comité Scientifique, à propos du vécu des malades. Retrouvez ces échanges en vidéo dans cet article !
Un outil pour les malades, et les médecins !
Dans cet échange, Dr Christelle Comte (dermatologue à Paris, spécialisée en photodermatologie et en photothérapie), détaille les différents impacts du vitiligo qu’elle a pu observer, dans son cabinet, selon les personnes… mais aussi les points communs à tous les malades.
Elle explique également les situations de la BD qui ont particulièrement retenu son attention ; des situations familières qui sont pourtant parfois difficiles à exprimer à son entourage ou à ses médecins.
Première bande dessinée dédiée exclusivement au sujet du vitiligo à destination des jeunes et de leur entourage, « Le vitiligo et nous… » vise à se sentir moins seul face au diagnostic : une aide pour les malades afin de mieux vivre avec le vitiligo, mieux le comprendre et mieux communiquer à son sujet.
La réalité du quotidien des malades du vitiligo
Pr Julien Seneschal (Service de Dermatologie du CHU de Bordeaux et membre de notre Comité Scientifique), nous a aidé lors de la réalisation de la BD « Le vitiligo et nous… » en rédigeant plusieurs encarts et pages d’information à l’attention des malades du vitiligo et de leurs familles.
Dans cet échange, il fait le point sur les traitements actuels et ceux à venir dans un futur proche (Opzelura / Ruxolitinib). Il livre également ce qu’il a compris, lors de la lecture de cette BD, de la vie quotidienne des malades. « Le vitiligo et nous… » met en effet en scène des situations incarnées par deux jeunes, Juliette et Maxime, face à leurs questionnements, leurs doutes et leurs émotions.
Chaque malade du vitiligo peut ainsi se retrouver dans plusieurs de ces scènes de vie « ordinaires » qui ne sont pourtant parfois pas si « ordinaires » que ça lorsque la peau se dépigmente…